Chronique à temps perdu: L’intelligence radicale du rapport Parfrey-Davis
Au mois de novembre dernier, je proposais un rapprochement entre la grisaille de l’automne et la lumière grise projetée par certains mots que nous utilisons pour décrire une conjoncture politique. Je prenais en exemple la manière par laquelle Moya Greene, dans son rapport, traçait les traits d’un paysage sombre, sans éclaircies autres que celles rendues possibles par les sacrifices de l’austérité.