Depuis son lancement, en 1984, Le Gaboteur a accumulé des centaines de photos, dont une infime portion a été publiée dans le journal. De plus, les personnes croquées dans les photos parues dans ses pages n’étaient pas toujours identifiées. Contrairement aux archives papier du Gaboteur qui sont dans un état impeccable, ses photos et ses négatifs ont été préservés sans être identifiées et encore moins classées selon les règles de l’art.
Reconnaissez-vous les enfants sur ces photos, prises à La Grand’Terre et à Cap Saint-Georges prises en 1990? Ou les auteurs de ces textes, publiés aussi en 1990? Où sont-ils aujourd’hui? Envoyez les détails par courriel à [email protected]!
Un bruit…
Il entend un bruit
Au milieu de la nuit
Qui lui fait très peur
Et battre fort son cœur.
Une personne dans les ombres
Un personnage très sombre
Tenant un couteau
Va le mettre dans le dos.
Courant aussi vite qu’il peut
L’estomac dans des noeuds
Se tournant pour découvrir
Sa sœur est en train de rire.
«C’est le 31 octobre!»
Christopher Fenwick, 9e année
École Notre-Dame-du-Cap
Papou le fantôme
Il y avait une fois un fantôme qui s’appelait Papou.
Il ne pouvais pas parler alors il disait «BOU!»
Il était seulement trois pieds de haut;
Pour un fantôme, il n’était pas vraiment gros.
Il ne parlait pas beaucoup, il était très silencieux.
Il aimait être comme cela, il disait: «c’est plus mieux.»
Il voyait les enfants la nuit de l’Halloween,
Avec leurs costumes et leurs friandises.
Alors il était content pour un autre année
De voir ces enfants.
L’an prochain, quand l’Halloween reviendra,
Notre fantôme Papou y réapparaîtra.
Janet Benoit, 11e année
École Notre-Dame-du-Cap
L’Halloween
L’Halloween est merveilleuse
Surtout pour les enfants.
C’est un jour de draculas
Et de sorciers effrayants.
La nuit de l’Halloween,
Si tu marches dans le soir,
N’aie pas peur, si tout à coup
Tu rencontres un chat noir.
Il y a toutes sortes de costumes
Que tu peux essayer; Celui d’un fantôme, d’un monstre, d’un dracula,
Ou même celui d’un sorcier.
Et quand la nuit prend fin,
Et que ton sac est tout plein, Tu vas toujours te dire:
«J’ai hâte à mes vivres!»
Marcel Simon, 9e année
École Notre-Dame-du-Cap
Les commentaires sont modérés par l’équipe du Gaboteur et approuvés seulement s’ils respectent les règles en vigueur. Veuillez nous allouer du temps pour vérifier la validité de votre premier commentaire.