
La Nuit Francophone du 10 juillet a rassemblé la francophonie de la région capitale au Ship Pub. Port-Aux-Poutines, l’Adrian House Band et les Carriers ont captivé les spectateurs avec des mélodies en français lors de cette soirée organisée par le Réseau culturel de la Fédération des Francophones de Terre-Neuve et du Labrador (FFTNL).

Le noyau des activités francophones au Festival était la Tente du Réseau culturel, recueillant une foule enthousiaste pour célébrer plusieurs artistes musicaux et visuels. C’est Rania Amirouche, musicienne âgée de quinze ans, qui a commencé les spectacles le samedi matin, avec des interprétations de chansons rétros.

Plusieurs autres musiciens et groupes se sont présentés à la Tente du Réseau culturel cette fin de semaine. Cove Pond (en photo), Ocean Bound et Port-Aux-Poutines ont donné des spectacles ici le samedi, tandis que Soup’ Du Jour, Beauxmont, Mary Barry et l’Adrian House Band ont joué le lendemain.

Plusieurs artistes d’expression française ont donné des spectacles dans la Tente du FolQ Fund + Fierté: Port-Aux-Poutines, en photo, le samedi et le duo Mark et Maria Cherwick le dimanche. Maria figurait également dans un spectacle dans la Tente instrumentale avec Jacob et Brian Cherwick, ce dernier un musicien bilingue. Ensemble, ils ont présenté la musique de l’Europe de l’Est.

Le public avait également l’occasion de démontrer leurs compétences artistiques lors du Festival folk. Dans la tente du Réseau culturel, Kim Grady a mené un atelier bilingue sur la création de cyanotypes.

Félix Belliveau, chanteur principal du groupe acadien Beauxmont, avait hâte «de jouer, de jammer» pendant une session de jam ouverte au public le samedi après-midi. Le groupe néo-brunswickois s’est présenté sur la scène principale le dimanche soir. Sur cette même scène le jour d’avant s’est déroulé le spectacle de l’artiste bilingue Mary Barry.

Bénévole depuis plusieurs années au Festival folk, Joy Hecht a voyagé de sa résidence à New York City jusqu’au vieux Rocher pour donner un coup de main la fin de semaine. Joy a utilisé le français au fil de sa carrière internationale en tant qu’économiste. Elle s’intéresse aux arts et à l’aviron.

Louise Saudmont, à gauche, et Alice Saudmont, à droite, sont des étudiantes à l’École des Grands-Vents. Elles se sont amusées dimanche après-midi en se faisant maquiller par Pixy Mama, ainsi qu’en assistant à l’atelier de fabrication des masques.