Texte de Nikola LeBel originalement paru dans l’édition du 9 mars 2020.
Certains de nos lecteurs auront peut-être reconnu mon nom en lisant les éditions courantes du Gaboteur. Ils se souviendront peut-être que je signais plusieurs texte pour notre journal en 2017, alors que j’y travaillais comme pigiste d’abord puis comme journaliste à temps-plein. En 2018, je suis retourné au Québec, mais j’ai continué à écrire à la pige pour cette publication qui m’est si cher. Aujourd’hui, me revoilà à Terre-Neuve pour prêter main forte à l’équipe, l’aider à réussir sa transition vers un nouveau modèle de gestion.
Étant donné les responsabilités qui m’incombent, je me retrouve dernièrement à réfléchir beaucoup à notre journal, à son passé, à son présent et à son avenir. Mes idées vont et viennent, mais un constat demeure et je tiens à ce que vous le lisiez :
Il n’y aurait pas de Gaboteur sans gaboteuses!
Le Gaboteur d’aujourd’hui est absolument impensable sans le dévouement et les contributions de Jacinthe Tremblay. Au cours des dernières, c’était elle le journal. En oeuvrant à titres de directrice générale et de rédactrice en chef, elle faisait à peu près tout : rédaction, édition, finances, gestion, recherche, rédaction, ventes, tout! Jacinthe, c’était Madame Gaboteur, et encore elle nous aide à diriger notre petit bateau voguant amoureusement sur l’eau en nous offrant ses conseils et son expertise indispensables.
Une autre femme sans qui le Gaboteur ne pourrait continuer à vous informer ou, à tout le moins, sans qui il serait nettement moins joli, est notre graphiste, Jessie Meyer. Jessie travaille avec nous depuis plusieurs années déjà et ses talents sont la pièce de résistance de la présentation du journal. Sa créativité ne cesse de m’épater. Patience et à l’écoute, elle est toujours prête à nous accommoder. Si nos pages sont si belles, c’est 666% grâce à Jessie.
Tout récemment, j’ai eu le privilège de travailler en collaboration avec Coline Tisserand et, laissez-moi vous dire, il y aurait pas mal de vide à remplir en son absence. D’un dynamisme sans comparable et nous arrivant sans cesse avec de nouvelles idées, Coline rend agréable même les tâches les plus ardues, dont la planification du Gaboteur. À mentionner aussi qu’elle est une vraie machine à écrire; sitôt le sujet proposé, sitôt le texte réalisé et ce avec autant de clarté, justesse, de profondeur et de style qu’on pourrait espérer.
Ce n’en sont que trois, mais détrompez-vous, la liste des super-employées, super-pigistes et super-collaboratrices du Gaboteur est longue. Qu’elles travaillent encore avec nous ou non, elles nous ont tous aidé à nous rendre où nous sommes.
Humblement, je vous salue, braves dames. Les verres sont levés et le feu brûle à votre honneur. Partager ces pages avec vous est pour moi une grande source de fierté. Je suis convaincu que tant et aussi longtemps que notre équipage peut compter des femmes comme vous parmi ses membres, rien ne l’arrêtera.
Merci pour tout.
Nikola LeBel
Image produite par Tyler Feder.
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