Liz Fagan
Cette décision a créé un grand dérangement pour les parents d’enfants en immersion, pour les francophones de la région, ainsi que pour le chapitre provincial de l’organisme Canadian Parents for French (CPF-TNL), qui riposte en partageant une pétition dans la région.
«Cette décision représente une autre réduction de l’éducation en langue française dans les régions rurales de Terre-Neuve-et-Labrador», peut-on lire en anglais dans la pétition qui est hébergée sur le site Web du CPF-TNL. «L’accès juste et équitable aux programmes bilingues ne devrait pas être réservé aux élèves vivant dans les grandes zones urbaines.»
Le programme d’immersion française est offert à l’école depuis près de 40 ans. Dans un message publié sur Facebook le 23 août, le conseil municipal de Marystown a exprimé son soutien au programme «pour les années à venir».
La pétition porte actuellement 530 signatures. L’organisme se rapproche donc de son objectif de 600. Pour en savoir plus ou pour ajouter votre signature, c’est par ici: https://nl.cpf.ca/en/stop-the-cuts/.